Avant-Goût VO : Review Uncanny X-Men #502

16 septembre 2008 Non Par Comic Box

[FRENCH]  Suite de la saga nous présentant le nouveau terrain de jeux de nos mutants : San Francisco. C’est l’heure de la revanche pour les X-Men ! Après l’agression d’une jeune mutante ailée, Pixie, les héros veulent connaître les agresseurs et leurs motivations. Est-ce simplement un crime anti-mutant ou est-ce que tout cela cache quelque chose de plus important ? Matt Fraction et Ed Brubaker n’y vont pas de mains mortes. La série s’assombrit et les méthodes des X-Men prennent une autre tournure. Fini de rire, les mutants ne laissent plus faire et veulent des réponses à n’importe quel prix !

Uncanny X-Men #502

Scénario de Matt Fraction & Ed Brubaker
Dessin de Greg Land

Sortie américaine le 17 septembre 2008

Branle-bas de combat chez les X-Men ! Il est temps d’obtenir des informations. Pour cette mission, rien de tel que Wolverine et Nightcrawler pour cela. Les membres du nouveau Hellfire Club s’en prennent plein la tronche et après ce qu’ils ont fait subir à Pixie, on ne s’en plaint pas. Un interrogatoire peu orthodoxe pour des « gentils » s’ensuit. Ne dîtes jamais oui à Cyclope pour une cession d’acuponcture, vous vous en mordriez les dents. C’est ensuite l’heure de la revanche… mais nos héros se lancent tête baissée dans le combat sans connaître leur adversaire. Ça va leur jouer des surprises ! Le retour d’un vieil ennemi (non, ce n’est pas encore Magneto) va leur causer bien des soucis.

Les deux scénaristes continuent leur saga très terre-à-terre. Fini les aventures dans l’espace ou dans d’autres dimensions. Les X-Men vivent dans une nouvelle ville et doivent imposer leurs lois. Leurs méthodes ont changé, mais c’est normal. Après tout, des jeunes mutants se faisant battre à coup de pieds-de-biche nécessitent des représailles plus musclées. Une ère plus noire s’ouvre pour les mutants…

Graphiquement, c’est toujours au top. Certains reprochent à Greg Land d’avoir un style trop statique. Mais les scènes de combat de ce numéro leur prouveront le contraire.

[Pierre Bisson]