Avant-Première VO: Review Stan Lee’s Starborn #5

11 avril 2011 Non Par Comic Box

[FRENCH] La saga de Starborn a pris son envol vers les étoiles, tandis que les adversaires du héros sont, eux, restés sur Terre. Mais voilà que d’autres traces de technologies aliens pointent le bout de leur nez aux quatre coins du globe. Et pendant ce temps le protagoniste principal de la série commence à se demander s’il n’y a pas quelque chose qui cloche…

Stan Lee’s Starborn #5 [Boom!] Scénario de Chris Roberson
Dessins de Khary Randolph, Matteo Scalera…
Sorti aux USA le mercredi 13 avril 2011

Avec près de la moitié de l’épisode passée dans l’espace entre deux mondes et le fait de s’émerveiller (ou pas) de la capacité de voyager entre les systèmes solaires, cet épisode de Starborn n’est sans doute pas le plus dense qu’il nous a été donné de lire. En un sens Chris Roberson aurait peut-être du jouer un peu l’économie quand à son héros et nous en montrer plus sur ce que les adversaires aliens découvrent sur la Terre, tant il est évident qu’il reste un « plot » de taille laissé en plan depuis le premier épisode : En dehors de Benjamin qui écrivait des choses qui finalement sont avérées, il y avait également un autre romancier qui le devançait à chaque fois… Et il va bien falloir que Ben se pose la question à un moment. Ils sont deux à avoir décrit le même univers et il a forcément une sorte de double quelque part sur Terre, même si le scénariste semble plus intéressé par une trâme plus « space opera » pour l’instant. On est cependant pressé de voir ce qui se passer quand Ben finira par remettre en doute la parole de ceux qui l’entourent…

Pour ce qui est des dessins, Khary Randolph a jusqu’ici fait de Starborn la série la plus régulière sur les trois que Stan Lee présente chez Boom. Le fait qu’il se fasse assister ce mois-ci par Matteo Scalera pourrait faire craindre que cette continuité visuelle passe aux oubliettes. Et bien pas du tout. Scalera se glisse dans la série sans que celà jure, du coup Starborn continue de bien s’en sortir sur ce plan-là.

[Xavier Fournier]