Avant-Première VO: Review Green Lantern Corps #19

[FRENCH] Attaqués frontalement par le First Lantern, les membres du Green Lantern Corps (et Fatality) sont totalement pris par surprise. Heureusement ils peuvent compter sur le retour d’un de leurs membres les plus puissants, qui revient les aider au moment où ils sont attaqués par une armée multicolore…

Green Lantern Corps #19 [DC Comics] Scénario de Peter Tomasi
Dessin de Fernando Pasarin
Parution aux USA le mercredi 10 avril 2013

DC Comics avait annoncé pour ce mois-ci des moments « What the fuck ? » (qu’on pourrait traduire par « Bordel, qu’est-ce qui se passe ? »). Si la partie visible de la couverture évoque la possible chute du Green Lantern Corps, l’autre fait mention du retour d’un membre… Qu’on peut mentionner largement puisqu’il a été reconstitué dans les épisodes précédents… La planète Mogo arrive en effet pour sauver la mise à ses anciens collègues, dans des circonstances quand même un peu floue. Et quand le First Lantern attaque, à la tête d’une armée constituée de versions « alternatives » des héros, j’ai un peu tiqué en réalisant que Mogo ne faisait pas partie des cibles (mais celà s’explique totalement par la suite). De fait la planète Green Lantern ressemble un peu à un deus ex machina, une solution miracle qui permet de libérer d’un coup de nombreux personnages. L’épisode n’est pas mauvais mais comporte finalement peu de surprise et en tout cas pas l’instant « what the fuck ? » qui avait été promis.

Peter Tomasi et Fernando Pasarin continuent de faire du très bon boulot sur cette série mais, une fois encore, se répète la curieuse impression déjà vécue sur les autres titres Green Lantern du moment et sur la saga du First Lantern. Quand on voit ce qui reste à résoudre sur les histoires en cours, les explications à donner et les situations à régler, on se dit que d’ici la fin le mois prochain (et le changement de garde créative à la tête des séries GL) les choses ont intérêt à être ultra-denses dans les pages qui restent si la fin veut être à la hauteur…

[Xavier Fournier]