Avant-Première VO: Review Uncanny Avengers #17

Avant-Première VO: Review Uncanny Avengers #17

27 février 2014 Non Par Comic Box

Avant-Première VO: Review Uncanny Avengers #17[FRENCH] Les Uncanny Avengers ont été décimés et il n’en reste plus qu’une poignée pour faire face au plan des Apocalypse Twins et, surtout, au jugement d’un des Celestials. L’humanité ne peut survivre que si elle est unie… Mais justement il y a comme un problème.

Uncanny Avengers #17Uncanny Avengers #17 [Marvel Comics] Scénario de Rick Remender
Dessin de Scott McNiven
Parution aux USA le mercredi 26 février 2014

On ne pourra pas accuser Rick Remender de faire dans la dentelle. Les enjeux grimpent épisode après épisode et là… c’est trop à un point qu’on ne peut plus accrocher. Difficile de ne pas imaginer que dans les épisodes à venir une petite marche à arrière va permettre de réparer les dégâts. Bien sûr, la plupart des séries de grosses équipes nous proposent des enjeux globaux. Et d’une certaine manière on ne s’attend pas à ce que les Skrulls envahissent réellement la Terre à l’issue de Secret Invasion ou que Doctor Doom devienne réellement le roi du monde. Mais là Remender s’est mis dans une position où à un moment il faudra bien ranger les jouets (ne serait-ce que pour entretenir certaines autres séries)… Autrement dit faire marche arrière. Dans un genre

Ce qui manque sans doute ce sont plus de personnages secondaires plus « sacrifiables » qui pourraient venir entretenir l’histoire. Et là je pense en particulier au groupe formé par Kang, qui est absent depuis un ou deux épisodes et qui aurait, ici, permis d’occuper les choses. Rick Remender est capable de grandes choses dont je ne vais pas juger de la conclusion globale avant de l’avoir lu mais là, en ce qui concerne cet épisode-là, la débauche de destruction fait qu’on n’y croit plus, qu’on est tenté de dire « et après quoi ? », malgré des scènes plutôt pas mal (le Grim Reaper qui tente de corrompre la Guêpe, le débat entre Thor et son père…). Sans doute que l’arc traine un poil en longueur…

[Xavier Fournier]